Jean-Michel Hammonet, l’organisateur de réunions de catch à Plouasne donne rendez-vous aux amateurs de "lutte professionnelle le" le samedi 16 mars, en soirée, pour une magnifique réunion, avec – comme d’habitude - une belle affiche internationale.
Le catch : un spectacle parfois ... animé
Le catch, appelé aussi la "lutte professionnelle" a vu le jour au Canada francophone. C’est au départ une forme de divertissement combinant performances sportives et spectacle. Rendu populaire en France, au début des années 60, par Roger Couderc, journaliste sportif, qui commentait les matchs de catch le samedi en soiré su la première chaine se la télévision Française, en noir et blanc. Les téléspectateurs vibraient aux exploits du "Bourreau de Béthune" ou de "l’Ange Blanc" !
Le Catch est une discipline hybride, Il est à la fois sport, spectacle et divertissement. Le sémiologue et écrivain, Roland Barthes, l’a même décrit comme un art et une pantomime à la façon Anglaise. Il a écrit un bel essai, titré : "Le monde où l'on catche" qui fait référence pour les amoureux de ce sport noble et qui a été publié en 195, chez le SEUIL.
(voir le lien html en fin d’article, pour en savoir plus).
Le catch affiche parfois de belles individualités
Les "catcheurs" sont de grands sportifs et des compétiteurs :
Au fil des années, les catcheurs, aiguillonnées par la concurrence entre-eux, sont devenus des sportifs à part entière. Ils soignent leur forme physique et passent beaucoup de temps à la salle de musculation et pratiquent le "body-bulding". Ils sont devenus de véritables sportifs, loin de "comédiens" des débuts, à la télévision en noir-et-blanc. Le catch est devenu un sport à part entière et les catcheurs sont des athlètes. Il faut les considérer ainsi. Ils sont régis par de Fédérations Nationales et les règles applicables à leur sport sont rigoureusement codifiées et appliquées par des arbitres rigoureusement sélectionnés.
Les "arbitres" :
Au tout débuts des retransmissions de match de catch, les arbitres faisaient parti du "cirque" ! Régulirement, sur le ring, lorsque un catcheur portait un coup à son adversaire, ce dernier – au dernier moment – se retirait et c’était l’arbitre qui prenait le coup dans la tête ! Cela provoquait de grands éclats de rire chez les téléspectateurs. Mais que l’on ne s’y trompe pas : les arbitres sont également des sportifs accomplis et quasi-professionnels.
Michel Daugan, Maire de Plouasne
Grand meeting de "Catch" à Plouasne :
Michel Daugan, Conseiller Départemental des Côtes-d'Armor et Maire de Plouasne, soutient les manifestations de Catch, organisées à Plouasne : "Le Catch est populaire et je pense que dans la période difficile que nous vivons, nous avons besoin de nous réentendre, dans un moment de convivialité et de partage. Ça fait du bien ! " a-t-il déclaré.
Les femmes participent aussi au spectacle
Le 16 mars 2024, à Plouasne, salle omnisports "La Gautrais" (à côté du collège) Jean-Michel Hamonet, vous propose une grande réunion de Catch. Pas de billetterie à l’avance. Les tickets seront en vente sur place. Paiement par chèques ou en espèces. L’ouverture des portes se fera à 18.30 heures. Les places sont à 12 €. Le 1ᵉʳ rang est à 25 €. Les places pour les enfants de 10 ans, sont à 5 €. Buvette et petite restauration sur place.
Luc Boutet
Liens à suivre :
Le catch vu par Roland Barthes : https://www.archives-2005-2022.upavignon.org/wp-content/uploads/sites/24/2017/12/171205-Barthes-pre%CC%81sentation-Christian-Deny.pdf
Voir une vidéo des années 50 :
_______________________________________________________ (publicité) _______
Lire mon dernier roman :
MANON ou Autopsie d'un féminicide ordinaire :
L’assassin de "Manon", sa compagne, sera-t-il condamné par la Justice ?
La statistique, publiée par le Ministre de l’Intérieur est immuable : une femme meurt tous les 3 jours, sous les coups de son mari ou compagnon !
Même si les chiffres ont un peu diminué en 2023, c’est un chiffre effrayant !
Un dimanche matin, au réveil, notez bien la date sur votre calepin !
Puis attendez que s’écoule une semaine.
Pendant ce laps de temps, deux femmes auront trouvé la mort sous les coups de leurs époux ou de leurs conjoints.
Pour mieux visualiser ce drame récurent de la vie de certains couples, arrêtez-vous devant la terrasse d’un café, n’importe où en France. Regardez bien toutes les femmes qui s’y trouvent, joyeuses et rieuses, jeunes ou plus âgées. Elles jouissent toutes de la vie, insouciantes et heureuses ! Pleines de vie.
Comptez-en deux. C’est facile !
Dites-vous qu’elles seront mortes, avant la fin de la semaine.
Et nous pensons vivre dans un pays … civilisé !
Ce ne sont que des chiffres statistiques. Bornés !
Mais absolument réels !
Cela doit cesser !
Si les lois ne parviennent pas à endiguer ces statistiques macabres … et bien il faut changer les lois !
Manon, jeune provençale, native d’Aubagne, Professeure des Écoles, avait épousé son grand amour.
Jack, un Malouin, vainqueur de la Route du Rhum, mais aussi agrégé de Lettres Modernes et professeur à la Sorbonne. Il était aussi écrivain ayant connu un certain succès et accessoirement … beau comme un Dieu Grec !
C’était - et resterait - le "Grand Amour" de sa vie.
Ils avaient mis au monde – fruits de leur incommensurable amour - Lou et Fleur, deux magnifiques et coquinettes petites filles.
Et leur couple, enorgueilli par ces deux rayons de félicités, suscitait l’admiration de tous, à Saint-Germain-des-Prés où ils animaient la vie culturelle germano-prtine.
Jack donnait des Conférences dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne, qui attiraient des auditeurs venus du monde entier, notamment des Universités Américains de prestige.
Manon tenait bénévolement des permanences à la bibliothèque municipale au cours desquelles elle recevait des écrivains inconnus, mais très talentueux. Elles faisait aussi des lectures, pour les seniors, qui la vénéraient, pour ces instants de pur bonheur.
Tous deux organisaient, une fois par mois, un "Café Littéraire", dans l’arrière-salle d’une grande Brasserie du Boul’mich. Ce salon convivial recevait un grand succès ! Des écrivains connus venaient présenter leurs derniers romans.
ls étaient brillants et adulés
Leur bonheur insolent … pouvait-il durer ?
La "Grande Faucheuse", avec sa sale goule édentée et sa faux aiguisée, veillait !
Jack fût tué, un dimanche matin, alors que, sur son vélo, il allait pratiquer son sport hebdomadaire, au Bois de Boulogne, sur le circuit des cyclistes amateurs nommés Jean-Paul Belmondo, Jacques Balutin, André Pousse et Michel Drucker et bien d’autres, qui tournait en peloton, sur un circuit immuable. C’était un jolie bande !
Porte Maillot, au petit matin, il avait été heurté par deux sinistres chauffards, à bord d’un cabriolet Mercedes volé, le nez bourré de coke.
Les voyous avaient pris la fuite.
Manon attendit quatre ans, avant que le souvenir de son Jack, ne s’estompe de son cœur. Au bout de ce long temps de deuil - pour une jeune-femme de vingt-huit ans - elle rencontra Ludovic.
Elle imagina retrouver le bonheur avec lui.
Parce qu’elle était terriblement femme et sublime … forcément sublime !
Et "l’Indicible" fût commis par le nouvel aimant.
Il tua Manon, de ses poings nus, un soir où il était rentré à leur domicile, saoul comme un Cosaque du Don.
Ce roman de Luc Boutet est l’histoire banale d’un féminicide de la vie ordinaire !
Comme il s’en commet un tous les 3 jours dans le doux pays de France.
La Justice qui n’avait pas su prévoir le prévisible, saura-t-elle condamner fermement ’Indicible ?
"Sur le chemin de l’Indicible". Tome 1. Manon, ou "Autopsie d’un féminicide ordinaire" Luc Boutet. Roman. 454 pages.
3,99 €, en format e-book, sur Amazon.
Ou 1,99 €, directement auprès de l’auteur.
Contact :
luc.boutet.auteur@gmail.com ou 06.66.64.84.45.
Site de vente directe : https://www.infos-resilience.com
Á paraître fin février 2024 :
"Sur le chemin de l’indicible"
Tome 2
Lou-Fleur
ou
"La vengeance d’une enfance outragée"
3,99 €, en format e-book, sur Amazon.
Ou 1,99 €, directement auprès de l’auteur.
À Commander sur :
Suivre le lien :
댓글