La vie sur terre, depuis la nuit des temps, a toujours été brutale !
 
Batailles Épiques de l’Antiquité au cours desquelles Romains massacraient les Athéniens et réciproquement. Répression des Cathares. Guerre de Cent Ans. Massacre de la Saint-Barthélemy. Têtes coupées à la Révolution de 1789. Guerres Napoléoniennes. Génocide Arménien. Guerre de 14-18, la "Der-des-der" l’appelait-on. Le IIIème Reich Nazi, de 39-45. Grandes Purges Staliniennes. La Guerre d’Indochine. La Guerre d’Algérie. J’en passe et des meilleures ! 
Plus contemporaines : les assassinats au nom d’Allah et la Guerre en Ukraine. 
Ce monde est violent et les morts lui font cortège ! 
 
Dans ce monde de brutes, il faut toujours et encore de la Poésie. 
 
Il y en a toujours eu : de Homère à Rabelais, en passant par Apollinaire, Baudelaire. 
 
Adolescent, j’allais courir les filles, le bouquin "Paroles" de Jacques Prévert, en format poche, ne quittait pas les miennes. 
Puis, au temps de la Fac, ce fût la Poésie de Léo Ferré, de Saint John Perse, de Jean-Roger Caussimon et d’Antonin Arthaud, sans oublier Federico García Lorca et Aragon. 
Et mille autres encore. 
 
La poésie est vitale pour le monde. 
 
Le "Mendiant des Paludes" a été mis en gésine, entre le beau temps du joli mois de Mai 68 et ma trentaine bohème. Jouer avec les mots a toujours été ma passion. 
La poésie c’est la liberté. On se libère de la phrase. On fait la nique à la ponctuation. Même, on ignore la rime et les Alexandrins, si on le décide. 
 
La poésie : c’est … la vie ! 
 
 
Bien à vous
 
Luc Boutet
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